La Révolution française réforme le système fiscal français. En 1791, une nouvelle contribution foncière est levée et un bureau du Cadastre est institué. Mais l'on conserve encore pour quelques années les plans terriers de l'Ancien Régime, le plus souvent établi sur les déclarations des propriétaires. Pour permettre un meilleur calcul de l'impôt foncier, Napoléon Ier souhaite instituer un cadastre général parcellaire. La loi du 15 septembre 1807 le met en place.
Également appelé "cadastre napoléonien", celui-ci est constitué d'une série de plans établis grâce aux relevés topographiques effectués par des géomètres dès 1808. Ces plans sont réalisés réglementairement en deux exemplaires : le premier est conservé en commune, le second dans les services d'impôts fonciers du département.
En principe, chaque plan se compose d'un tableau d'assemblage et de feuilles de section.
La recherche se fait par nom de commune.